
Les Américains ont l’habitude de contracter des crédits pour financer leurs projets, acquérir leurs biens, et assouvir leurs besoins. D’après la Réserve Fédérale américaine, la valeur moyenne d’emprunt est évaluée à 137 063 dollars par ménage. Les financements les plus plébiscités étant le prêt étudiant ainsi que le medical debts, qui conduit souvent à une faillite personnelle. Toujours est-il que la dette en carte de crédit s’élève aussi à 16 883 dollars en moyenne, avec un intérêt annuel de 1 292 dollars.
Depuis octobre, la cotisation d’assurance-chômage a été supprimée définitivement dans les bulletins de paie. En raison de cette modification, les travailleurs des entreprises privées perçoivent désormais jusqu’à 22 euros mensuels nets supplémentaires. De quoi rehausser leur pouvoir d’achat et arrondir leur fin du mois. Cette économie permettrait surtout de compenser la hausse des contributions sociales généralisées.
Les ménages canadiens sont de plus en plus endettés. C’est ce qu’a révélé un organisme national de statistique en septembre dernier. Cette hausse continuelle de leur niveau d’endettement est flagrante chaque trimestre, bien que la remontée attendue pour le deuxième trimestre se trouve parmi les moins importantes au cours des huit dernières années.
350 millions d’euros, c’est le surplus qu’a enregistré l’IFI par rapport au rendement attendue cette année. Autant dire que cette taxe sur le patrimoine immobilier, qui a substitué l’ISF (impôt de solidarité sur la fortune) en début janvier 2018, a été des plus rentables pour l’État. Ce dispositif doit une telle performance à de nombreux paramètres, principalement pour des raisons préventives.
L’inflation s’établit à plus de 2% en juillet 2018, à en croire les chiffres communiqués par l’Insee. De quoi chambouler l’environnement des marchés français, notamment en termes d’immobilier. En effet, s’endetter pourrait devenir avantageux pour celui qui projette d’acquérir un logement. Cela s’explique par le maintien du taux de crédit à son niveau actuel, qui est des plus bas.