
Les Français, particuliers et gérants d’entreprise, sont très actifs en matière de crédit. Ce n’est pas forcément une bonne chose. D’autant que parmi les pays de la zone euro, France réalise un endettement dont le niveau a grimpé d’une manière exponentielle. Les conséquences vont dans les deux sens. D’un côté, les banques risquent d’être en manque de fonds, et d’un autre côté, les emprunteurs se trouvent en surendettement.
Le regroupement de dettes est devenu monnaie courante en Belgique. Cette solution semble, en effet, arranger les accros aux crédits du pays étant donné son caractère pratique. Sans parler du fait qu’il s’agit d’une issue au surendettement. Toujours est-il que les endettés devront quand même prendre conscience des coûts qu’il pourrait engendrer, qui pourront être au final plus pénalisants pour leur portefeuille.
Si bon nombre d’analystes affichent leur optimisme concernant la hausse certaine du pouvoir d’achat des Français en 2019, les ménages les plus démunis semblent toutefois convaincue du contraire. Le fait est que les réformes économiques et fiscales instaurées depuis janvier et qui vont se poursuivre l’année prochaine font autant de perdants que des gagnants. C’est en tout cas ce qu’a révélé l’étude menée par l’IPP (Institut des politiques publiques).
À l’heure où le pouvoir d’achat est au cœur de l’actualité, notamment depuis le début du mouvement des Gilets Jaunes, différents organismes tentent d’y apporter plus de lumière en initiant des enquêtes. L’observatoire français des conjonctures économiques est l’un d’eux. C’est aussi le cas de l’institut national de la statistique et des études économiques.
Dernièrement, le pouvoir d’achat des ménages français est au vif du sujet. Qu’il s’agisse du gouvernement ou de l’INSEE (L’Institut national de la statistique et des études économiques), les prévisions sont unanimes, la croissance est au rendez-vous pour cette année. Seulement, quelques différences subsistent quant aux chiffres présentés par chaque entité.